Urara Meirochou

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Aujourd’hui on s’attaque à un animé plutôt sympathique : Urara Meirochou !

 

La petite histoire :

    Tout commence en 2014 avec la sorti du manga écrit par Harikamo. Le manga n’est pas publié en France, tout du moins pour le moment.

    L’animé est sorti pendant l’hiver 2017 et possède 12 épisodes. Étonnement, il n’a pas fait beaucoup de bruit et semble boudé par les grandes productions...

Personnage :

    L’animé se base sur nos quatre personnages principaux et sur deux personnages secondaires.

    Chiya est l’héroïne de cette histoire. C’est une fille pleine de vie à l’histoire un peu étrange. Elle a été abandonné à la campagne quand elle était enfant. Depuis, elle a vécu dans la nature comme une fille sauvage jusqu’à ses 15 ans où elle décide de devenir Urara pour retrouver sa mère. Elle semble avoir un lien particulier avec ses longs cheveux, qu’elle refuse de couper. Elle a souvent un comportement un peu “animal” ou décalé qui fait d’elle un personnage plutôt naïf. Elle est très simple et direct dans sa façon de pensé, mais ne manque pas d’être profonde quand l’ambiance est de mise.

    Kon Tatsumi est la fille d’une grande Urara. C’est la plus proche de Chiya. Elle rêve de devenir Urara de rang 1 et se lie pour ça avec l’esprit du renard (dit “Kokuri”). Son apparence lui donne un côté nekomimi et en même temps, sa discipline d’apparence et de travail lui donne un côté typiquement ‘Japonais’. J’aime beaucoup ce personnage personnellement.

    Koumi Yukimi est une fille pétillante qui suite à une rencontre à décidé de devenir sorcière. Elle aime s’amuser et quand les choses se passent bien. Elle est fan de culture Française (elle essaie de dire quelques mots, mais c’est pas très probant… ^^”) et ça ressort sur sa tenu bien plus typique que celle de ses amies.

    Nono Natsume est une fille ultra-timide qui pour parler au gens s’aide d’une poupée (moche) qu’elle fait parler grâce à ses dons de ventriloquies. Malgré sa timidité, elle s’intègre assez bien avec les autres, surtout avec Chiya qui la choque souvent par ses manières décomplexées. Quand elle est détendu, elle est aussi joueuse que ses camarades.

    Nina Natsume est la grande sœur de Nono. C’est elle qui s’occupe de l’apprentissage de nos 4 héroïne. C’est une fille qui possède une facette traditionnelle où elle est l’incarnation de la gentillesse et une facette plus personnel où on découvre une personne adulte avec ses problèmes et ses déceptions. Elle est très attaché à ses élèves et les mets au premier plan.

    Saku Iroi est la responsable de la “sécurité et de meurs” dans la zone des rangs 10. Elle ressemble beaucoup à un homme, ce qui rend une sorte de tension entre elle et les autres personnages. Elle traque tout ce qui n’est pas dans les mœurs et se retrouve donc souvent à suivre nos héroïnes. Elle semble être la meilleure ami de Nina.

    Il n’y a pas beaucoup de personnage dans cet animé, mais ils sont tous plutôt intéressants. Les quelques figurants sont plats, mais ça ne fait que rehausser les personnalités de nos héroïnes.

Scénario :

    Les Urara sont des filles capables de prédire l’avenir grâce à de multiple méthode de divination. Cette profession s’apprend à partir de 15 ans, âge où l’on peut devenir Urara de rang 10. Il faut ensuite passer des examens pour changer de rang et de zone dans la ville des urara : Meiro-chou.

    C’est ainsi que Chiya débarque avec l’objectif de retrouver sa mère. Elle rencontrera ses camarades et sa futur professeur : Nina. Nos 4 héroïnes deviendront vite amie avant de vivre des aventures mettant leur “kawaiitude” en avant. Mais ce n’est pas une simple histoire linéaire et sans profondeur, car Chiya va commencer à voir des choses étranges que Kon soupçonne être les dieux eux-même alors que la vrai forme des dieux est un tabou. Qui est réellement Chiya ? Réussira-t-elle à retrouver sa mère ? Nos 4 amies vont-elles réussir à passer au rang supérieur ?

    Même si ce scénario n’est pas particulièrement complexe, il reste très agréable et complique de façon intelligent l’histoire pour la rendre intéressante et justifier tout le reste.

Graphisme :

    L’animé est très récent et sa qualité est donc vraiment bonne. Les trames sont très intéressante et de qualité. La façon dont il est construit me rappel personnellement K-ON, qui n’hésitait pas non-plus à miser largement sur le côté Kawaii de ses personnages. Le design de nos personnages est bien choisi et comme on peut s’y attendre, cet animé est tout en mignonnerie, même s’il réserve quelques surprises. Il n’est pas graphiquement exceptionnel, mais il a sut trouver un équilibre qui lui permet de se suffire à lui-même sans qu’il n’y ait rien à retirer ou à ajouter.

Point noir :

    La seul chose que je pourrais trouver à redire, c’est que son thème ennuiera tout ceux qui s’attendaient à de l’action. A par ça, son principal point noir est qu’il n’est pas connu alors qu’il a le potentiel pour devenir le nouveau K-ON, sorti il y a bientôt 10 ans.

Conclusion :

    Urara Meirochou est un animé que j’ai beaucoup aimé. Il est amusant et tout est très Kawaii. Je le conseil aux fans de K-ON et à tous ceux qui aime les animés du genre “amitié”.

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