Death Parade

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Aujourd'hui on s'intéresse à Death Parade !

La petite histoire :

Death Parade est à l'origine un film d'animation sorti en 2013 : Death Billiards ! Comme il a bien fonctionné, le réalisateur Yuzuru Tachikawa (qui a aussi travaillé sur un bon nombre de géant comme l'attaque des titans, Bleach, Kill la Kill ou encore S.A.O.) a créé une série animé de 12 épisodes sorti en 2015. En France, la série est licencié par ADN.

Personnage et Scénario (ma vision de l'époque) :

Alors, quel étrange phénomène qu’est Death Parade. Littéralement, le défilé de la mort.

Pour faire simple, les âmes des humains qui sont morte en même temps se retrouvent dans un endroit entre néant et monde des vivants pour y être jugée. Certaine seront réincarné, alors que d’autre tomberont à jamais dans le néant.

C’est ainsi que des âmes arrivent mystérieusement dans un bar incroyablement charismatique au air de pub anglais haute qualité des années 80, le Quindecim. Ils y rencontrent Decim, celui qui sera leur juge.

Évidement, si ce n’était que ça, ce serait trop simple. Les âmes ont la particularité de ne pas se souvenir de comment ils se sont retrouvés ici, alors que le barman, lui, a eu la possibilité de visualiser toute leur vie.

Pour corser le tout, le juge leur propose de jouer à un jeu aux dimensions surnaturels qui passera d’un simple jeu de fléchette aux jeux des 7 familles ou à un jeu d’arcade. Le plus beau, c’est que les joueurs retrouvent peu à peu la mémoire au cours du jeu et finissent par dévoiler leur véritable nature.

Voila en gros comment ça se passe. Enfin, jusqu’à l’arrivé de Chuyuki, une jeune femme aux cheveux noirs arrivée en se souvenant de sa mort. Nona, une supérieure, lui a donc effacé la mémoire et confié à Decim en tant qu’assistante.

Mais elle ne se tient pas vraiment tranquille et commence à influer sur les résultats que donnent les jeux de Decim. Celui-ci, intrigué, commence à s’intéresser aux sentiments humains dont il est totalement dépourvu et fait murmurer tout l'entre-deux monde.

Il faut ajouter à tout cela une dimension mêlant les dieux avec une analyse comportementale incroyablement profonde du genre humain. Personnellement, je trouve ce côté particulièrement incroyable. L’auteur s’affranchit de sa propre espèce et juge l’espèce humaine avec un sang froid et une froideur disséquant les préceptes les plus fondamentaux.

Graphisme (ma vision de l'époque) :

Il faut ajouter à tout ça des graphismes à couper le souffle et des personnages attachants et incroyablement profond, alors que pourtant sans passés.

Points noirs :

Alors, déjà, même si j’avoue que ce n’est pas vraiment un mauvais point, l’histoire en elle-même ne commence qu’à partir du deuxième épisode. Ensuite, l’opening, bien que vraiment agréable, est vraiment trompeur sur le contenu de l’animé, qui est loin d’être particulièrement drôle. Enfin, je ne m’attendais pas à une fin pareil et c’est une des seuls où j’étais vraiment à la limite de pleurer (je vous laisse deviner pourquoi ? bonheur ou malheur ?).

Conclusion :

En résumé, il fait partit de ces animés psychologiques à la réflexion poussée, ce n’est pas le genre d’animé qu’on regarde quand on veut rire. Il fait vraiment réfléchir et je pense qu’il faut vraiment en avoir vu un extrait dans sa vie.

OST

Pour télécharger les OST : suivez la flèche :

- - - - > http://fasttory.com/CXbv

Date de dernière mise à jour : 05/06/2018

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